La communication intuitive au service des animaux sauvages
Nos projets ont vocation à réunir les professionnels du monde animal avec des chercheurs et entreprises concernées par la cohabitation et la coopération entre humains et animaux.
pour permettre aux humains de mieux partager leurs espaces avec les autres vivants de la planète
pour mieux comprendre la conscience d’êtres humains aux processus cognitifs abolis et d’êtres non humains privés de parole.
pour respecter jusqu’au bout leur vie au côté de leur compagnon animal.
La communication intuitive au service des animaux sauvages
La médiation animale alliée à la communication intuitive auprès d’enfants non verbaux
L’EHPAD Vivant grâce au lien humain-animal
Les 6 et 7 octobre 2018 - Maison de la Radio - Paris : 2 jours pour changer de vision du monde
Certaines personnes développent des facultés intuitives leur permettant de percevoir des images, des mots ou des sensations à propos d’un être vivant, d’un animal, sur lequel ils concentrent leur attention.
Cette perception d’informations visuelles, auditives ou autres est rendue possible par l’état de conscience modifié dans laquelle la personne se place. On retrouve cette technique dans des pratiques telles que la méditation de pleine conscience, le remote viewing ou la transe cognitive.
Elle est appelée Communication Intuitive Interespèces ou communication animale.

Certaines personnes développent des facultés intuitives leur permettant de percevoir des images, des mots ou des sensations à propos d’un être vivant, d’un animal, sur lequel ils concentrent leur attention.
Cette perception d’informations visuelles, auditives ou autres est rendue possible par l’état de conscience modifié dans laquelle la personne se place. On retrouve cette technique dans des pratiques telles que la méditation de pleine conscience, le remote viewing ou la transe cognitive.
Elle est appelée Communication Intuitive Interespèces ou communication animale.
En ces temps de fortes pressions anthropiques sur la faune sauvage et les milieux naturels, il est crucial d’améliorer la cohabitation entre l’humain et l’animal. Dans ce contexte, comment améliorer le bien-être des animaux sauvages dans les centres de conservation ou de réhabilitation ? Comment les animaux peuvent-ils être relâchés avec succès dans la Nature, en particulier ceux ayant vécu en contact étroit avec les humains ?
Les gardiens de sanctuaires de faune sauvage sont régulièrement confrontés à des décisions capitales concernant le bien-être et l’avenir de ces animaux.
À ce jour, la plupart des sanctuaires s’appuient sur des soins fondés sur la science vétérinaire, les connaissances zoologiques et éthologiques de l’espèce. Mais comment prendre en compte les véritables souhaits des animaux pour leur vie dans un sanctuaire ou dans la Nature ?
Pour répondre à ces questions, nous expérimentons une nouvelle approche – la Communication Intuitive Interespèces – et développons des projets en intégrant la complexité du système humains-animaux, en sanctuaires ou centres de réhabilitation.
On connaît depuis longtemps les bienfaits de la zoothérapie et de la médiation animale pour les enfants non verbaux, des enfants atteints de certains troubles autistiques ou des enfants polyhandicapés. Au-delà du fait que ces animaux sont sollicités sans que l’on ait sollicité leur consentement et qu’ils sont parfois émotionnellement épuisés par les activités qu’on leur impose, nous avons la conviction qu’il se passe quelque chose de plus essentiel dans la relation entre ces humains et ces animaux qui sont privés de parole.
Que se passe-t-il précisément dans la conscience de ces enfants ? Ont-ils aiguisé d’autres capacités sensorielles à l’instar des mal-voyants ? Que perçoivent-ils des animaux ? Et que perçoivent les animaux de ces enfants ? Les manifestations que l’on peut observer dans leurs relations reflètent-elles un phénomène subtil de communication entre eux ?
C’est le sens du projet pilote que nous avons conduit pendant deux ans dans un Institut médico-éducatif (IME) à Colmar avec des résultats qui ont conduit les familles à souhaiter poursuivre ce projet.
On ne peut que constater la double peine infligée à une personne âgée dépendante lorsque celle-ci se retrouve contrainte d’aller vivre en EHPAD, forcée de quitter à la fois son logement et son animal de compagnie.
L’amendement de la loi Bien Vieillir votée le 27 mars 2024 concernant l’obligation pour les EHPAD d’accueillir et d’héberger les animaux des résidents va dans le bon sens mais il ne suffira pas à résoudre le problème du fait de la charge de travail et des contraintes déjà considérables pour les personnels d’établissement.
Les réponses logistiques, humaines et financières restent à trouver et, par ailleurs, des questions éthiques se posent quant à la manière de répondre aux besoins des animaux concernés, chats et chiens pour l’essentiel, notamment au regard de certaines pratiques de zoothérapie.
L’association Alliance Inter-espèces contribue à la Recherche dans ce domaine :